J’étais sur le canapé

J’étais sur le canapé. La fenêtre était ouverte le volet baissé mais pas trop

D’abord pour laisser l’air circuler et puis pour que mon chat ma petite Moon, puisse regarder dehors. Pour la première fois depuis longtemps je m’assoupissais. Ce n’était pas très confortable mais bon, au moins je dormaisJe fus soudain réveillée par Moon qui venait de me passer dessus toutes griffes dehors.

Je vis tout de suite qu’il y avait un problème. Sa queue avait triplé de volume, elle sautait comme une dingue d’une fenêtre à l’autre faisant trembler ses deux arbres à chat sous son poids risquant de me griffer violemment au passage. Elle n’était pas énervée ou excitée non au contraire elle semblait affolée voir paniquée. Quelque chose dehors semblait la terrifier. Du mieux que je pus, j’essayais de la calmerJe lui parlais, la caressais

_ Qu’est ce qui se passe ma pupuce ? T’as vu un chien ? Un oiseau ?

Un petit miaou plaintif me fit comprendre que c’était autre chose. Elle commença à se calmer lorsque je regardais moi aussi dehors. Sous ma main je sentais la tension dans les muscles de Moon, je retins ma respiration et observais. Je ne vis rien. La rue était déserte à cette heure ci. Un dimanche soir, veille de la rentrée il n’y avait personne, même pas les habituels excités du volant. La rue est plutôt bien éclairée là où je vis, mais vraiment je ne voyais rien. Probablement que Moon avait vu un autre chat ou des pigeons, ils pullulaient ici aussi. J’allais me relever quand j’entraperçu un mouvement. Oui là ! Entre les deux voitures garées en face, une ombre ! Un chat ? Non trop gros pour un chat, peut être un chien mais la manière dont cela se déplaçai ne cadrer pas. Trop fluide trop coulant. Je rêve où ce truc à bousculer une voiture, d’ailleurs l’alarme se déclencha. La chose revint sur ses pas, qu’elle n’avait pas, et se précipita sur la voiture. Je l’a perdis de vue. Cette fois ci la voiture sembla faire un bon, l’alarme toujours hurlante. Une étincelle un grésillement l’alarme se tue. Moon commença à gronder, feuler de plus en plus fort. De mon côté j’étais incapable de faire quoi que ce soit, j’étais comme fascinée , incapable de réagir ou d’émettre un quelconque son. Le truc ou la chose de son côté tournait toujours autour de la voiture. C’est moi ou je l’ai entendu grogner ? Soudain elle se figea, bon sang elle m’a vu ? Elle traversa la rue, c’était très étrange. Imaginez une ombre au contour informe mais avec un volume, se déplaçant uniquement dans les recoins obscurs de la rue. L’ombre d’une voiture, d’une maison un poteau. Bon sang le truc était au pied de mon immeuble. Je ne saurais trop dire pourquoi mais tout au fond de moi quelque chose me disait que ce machin ne me voulait pas du bien. Fuis bordel fuis ! Ferme cette putain de fenêtre !!! L’ombre progressait le long du mur, juste en dessous. Je devais bouger je dois bouger bon sang !!! Trop tard la créature bondit, j’hurlais et … Et je me réveillais sur le canapé avec mon chéri qui me secouais. Moon me regardais de son arbre à chat d’un air ironique.

_Ça va pas non de gueuler comme ça ?? tu as ameuté tout le quartier, t’es pas bien toi.

Je me redressais un peu essouffléLa vache !!! Juste un cauchemar. Moon poussa un miaulement plaintifs et se précipita dans l’une de ses petites maisons et s’y blottit au fond. Chéri me regarda surpris. Soudain le volet électrique vola en éclat et une immense créature sombre entra dans la pièce. J’eus le temps d’apercevoir mon amour se tenir la gorge qui venait d’être arrachée par de puissantes griffes, et deux yeux rouges jaunes, mauvais et méchants se précipiter sur moi.

Puis tout devint noire. J’étais morte !


L’OMBRE
Titre provisoire pas encore de cycle

Issu de mes insomnies et autres terreurs nocturnes

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Enfant de la Lune *

Je me souviens de la première fois où je suis morte
Cette terrible, douloureuse et magnifique sensation de la vie qui me quitte
La lame pénétrant ma chair comme un amant trop pressé
Mon sang chaud et bouillonnant s’échappant de mon corps par jets puissants et discontinus
Cette douce chaleur au point d’entrée et le froid si reposant qui m’envahissait
Mon souffle se faisant de plus en plus court
Je n’étais ni jeune, ni vieille, l’âge importe peu, je meurs point.
Et le regard étonné de ce guerrier
Étonné de me voir sourire alors que je meurs
Étonné de son propre geste
Étonné surtout de voir sa propre mort se refléter dans mes yeux brulants de rage
Ma dague était dans sa gorge et je buvais son sang qui jaillissait dans ma bouche
Je n’ai pas peur de mourir car tu vas mourir avec moi
Ce combat n’est pas finis, nous le poursuivrons sur l’autre rive de l’Achéron

Délire littéraire inspiré de mes rêves, écris par ma souffrance
De par moi-même
Une nuit d’insomnie

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PARCE MIHI DEUS

INTRODUCTION

« Fasse le seigneur, que ma main ne tremble pas au moment où j’écris ces lignes mais aujourd’hui à l’âge avancé qui est le mien et sur la fin de ma vie, je ne puis tenir plus longtemps ma langue sur les évènements terrifiants qui se sont déroulés en ce jour maudis du 6ème anniversaire de la chute de Montségur.
Je n’étais alors qu’un jeune prêtre fraichement nommé dans ce diocèse et après cette guerre qui mit la région à feu et à sang, j’eus toutes les peines du monde à m’y faire accepter et les évènements qui suivirent à mon arrivée ne firent que renforcer la méfiance des habitants.
J’arrivais au mois de septembre au village de Bram à plusieurs lieues de Montségur, une région difficile et aux habitants pauvres et rudes, méfiants à l’égard des étrangers, en particulier si ceux-ci sont des hommes d’Eglise.
Les premiers événements dramatiques se produisirent aux premières chutes de neige……….. »

CHAPITRE UN

De l’arrivée de la bête

« Les premières neiges étaient tombées toute la nuit, l’hiver s’installait enfin en cette veille du 21 novembre 1250, la nature s’était comme suspendue en attendant son heure. Le soleil venait de poindre à l’horizon et l’air était chargé de givre emporté par un vent glacial gelant les branches d’arbre et les quelques rares animaux qui n’étaient pas en hivernation. L’activité était si faible que les rares sons produits par la vie de la forêt se répercutaient en d’innombrables échos.

L’homme courrait à en perdre haleine. Depuis combien de temps courrait il ainsi ? Il ne le savait plus mais il savait que s’arrêter signifait sa mort, il les entendait tout près derrière lui à quelques mètres. Les loups ! Il entendait leurs jappements et leurs grognements désormais tout près, il pouvait même entendre respirer certains, combien étaient ils ? Il l’ignorait, mais les attaques sauvages qui avaient eut lieu dans la région laissaient supposer qu’il s’agissait vraisemblablement de tout une meute, au moins une vingtaine d’individus. Il avait eu la chance d’en apercevoir 4 alors qu’il travaillait à faire du bois pour le reste de l’hiver, c’est ce qui lui avait sauvé la vie en évitant d’être surpris par l’attaque
Malheureusement l’homme n’avait pas l’endurance des loups, et la fatigue faisant, il culbuta en avant lorsqu’il se pris les pieds dans une racine d’arbre traîtresse dissimulée par la neige fraiche. L’homme s’étala de tout son long alors que derrière et tout autour de lui des grognements de joie se faisaient entendre; l’homme tenta de se relever le plus rapidement possible mais n’y parvint pas, la dernière chose qu’il vit en ce monde de misère de l’an de grâce 1250 fut l’éclair blanc de crocs puissants qui se plantaient dans sa gorge ainsi que le regard rouge d’un grand loup noir, puis, les ténèbres l’engloutirent.

Son cadavre ne fut découvert que quelues jours plus tard, à la fois dévoré par les loups et les corbeaux; le corps était si abimé que nous dûmes l’enterrer en toute hâte et à partir de cet instand les attaques s’enchainèrent de manière régulière. La seconde attaque eut lieu le jour même de l’enterrement, deux petits berger, deux frères qui rentraient de l’école, Nicolas et Paul.
L’ainé avait dû tenter de défendre son frère, son bras gauche armé d’un bâton, défense dérisoire, avait été arraché; mais il avait très certainement fait mouche car du sang et des poils gris furent retrouvé sur le bâton. Hélas, cela avait dû déchainer la rage des loups car ils avaient atrocement mutilé les deux petits corps avec une violence et un sadisme extrêment génant et troublant pour de simples bêtes.
Cela pertuba énormement le petit village, chez ces gens simples imprégnés de traditions, de superstitions et d’une foi forcée, l’inquiétude et le terreur se fit grandissnte, on commença à parler de malédiction, de maléfices, de sortilèges ou même de sorcèlerie, et bien que personne n’osait prononcer ces mots, l’intervention du malin, était dans tous les esprits. Leur Méfiance à mon égard se faisait de plus en plus grande car je ne pouvais en tant que prêtre, n’avoir aucune part de responsabilité; là où il y a un curé, le diable ne pouvait être bien loin et de fait, ma position, déjà précaire de part la récente guerre, devint de plus en plus difficile.
_ Vous devez prévenir les autorités mon père ! Hurla l’un des villageois en colère.
_ Faites venir le Prévost ! Cria un autre
Il n’était guère qu’une quinzaine face au jeune prêtre que j’étais mais leur fureur n’étaient pas feinte et ils étaient tous armés de bâtons et de fourches ! Le plus virulent du groupe fut le père des enfants, Jean :
_ Vous savez surement quelque chose ou bien vous avez une explication . Qui sait vous y êtes peut être pour quelque chose ! Le Pape lui-même n’a t-il pas usé de sorcellerie pour gagner la guerre, dit il dans une colère Froide.
Je ne répondis pas à la provocation mais en même temps, je ne pouvais laisser passer une telle insulte.
_ La colère et la douleur t’égare, Jean, répondis je calmement, cela ne te ressemble guère de blasphémer ainsi.
_ Votre seigneur a rappelé à lui mes deux petits, répondit il le visage tordu de colère.
Il vallait mieux ne pas insister d’autant que la foule protesta avec lui. Il était inutile de débatte avec ces gens ivre de douleur et de colère, cela pouvait tout à fait touner au lynchage, surtout que je n’étais pas un enfant du pays mais un étranger et un prêtre de surcroit. Tout ceci ne plaidair guère en ma faveur.
_ Très bien ! Qui ira chercher le prévôst demain ?
Un lourd silence se fit.
_Je n’ai plus rien à perdre, dit Jean, j’irais !
Sa femme s’englota.
_On ira avec toi, dit un homme en s’avançant avec 3 autres.
Des femmes protestèrent.
_Silence tous ! Hurla Alban le chef du village. Jean, tu iras avec Vincent, Lucas et Numa chercher le Prévost et vous mon père, vous écrirez une lettre pour expliquer notre situation et demander de l’aide. Est ce que tous le monde est d’accord ?
Aucun signe de protestation, chacun garda le silence n’osant pas contesté l’autorité d’alban.
_Mon père dit il, on compte sur vous ! Vous autres ! Rentrez chez vous !
La foule se dispersa, chacun retournant à ses occupations.

CHAPITRE DEUX 1ère Partie

Le Prévôt

Les hommes partirent dès le lendemain aux premières lueurs du jour. Il leurs faudrait bien plus d’une bonne journée à cheval pour rejoindre le village où se trouvait le prévôt car ils partirent à pieds accompagner d’une mule. D’ailleurs malgré la distance, ils atteignirent les premières fermes qui composaient le domaine du prévôt qu’à la tombée de la nuit de la deuxième journée, et s’ils l’avaient voulu, ils n’étaient qu’à une journée de Foix et pouvaient demander de l’aide directement au seigneur de Foix mais il leurs aurait fallut marcher une nuit de plus. Puisque le seigneur aurait de toute façon mandé le prévôt car celui-ci représentait l’autorité judiciaire du Roy, il était aussi bien de demander audience directement à l’intéressé et flatter son égo, il n’en serait que plus susceptible de répondre favorablement à la supplique des villageois.
Le prévôt n’était guère apprécié par les gens du pays. C’était un choix politique du Roy que d’avoir nommé juste après les guerres de religion cet homme du nord qui s’exprimait sans l’accent des gens de la région. Malgré qu’il eut fait l’effort d’apprendre la langue locale officielle, l’occitan, sa dureté et son mépris n’avaient d’égale que son ambition et sa soif de pouvoir. Même le seigneur de Foix se méfiait de lui et évitait autant que possible, tous conflit avec ce parvenu.

Les hommes frappèrent à la première ferme où ils furent, malgré les vicissitudes de l’époque et de la région, bien accueillis, tradition occitane et paysanne oblige, car même si la guerre était passée par là et si l’hérésie cathare avait été balayée, il restait toujours une sorte d’entraide face à l’adversité. Un bon repas chaud plus tard et les hommes s’endormaient dans la grange avec leur mule. Ils furent reveillés le lendemain par le fils du fermier qui les conduisit directement à la maison du prévôt.

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Enfant de la Lune

La soirée se passait plutôt bien, mais je notais que notre hôtesse virevoltait tout autour de nous et ne prenait nullement par au repas. Je lui fis donc la remarque
Dites moi ma chère, votre repas est exquis mais je ne vous ai point vu vous sustenter avec nous
Elle éclata de rire
Mon cher que vous êtes drôle à vous exprimer ainsi, quel ton solennel, ne vous inquiétez pas j’ai pour habitude de manger après, je suis beaucoup trop stressée, et je préfère participer à la discussion
Et elle enchaîna sur un autre sujet, cela me sembla curieux mais je n’insistais pas
Le repas se déroula normalement, le digestif aussi, les voix se firent murmure, les rires s’espacèrent, la soirée s’achevaient. Nous étions tous dans le boudoir, les hommes le verre de Cognac à la main, le cigare en bouche, les femmes papotant un verre de Portos dans un coin de la pièce. J.avoue que le Cognac était très bon, un peu trop sans doute, le mélange alcool, cigare me montant à la tête, je décidais de m’éclipser un court instant dans l’arboretum pour respirer et reprendre mes esprits.
Et c’est là que je la retrouvai, assise par terre en tailleur, seulement éclairée par la lumière étrangement bleutée de la lune, elle semblait plus pâle que d’ordinaire, en pleine méditation, j’hésitais à la déranger.
Ce fut elle qui rompit le silence
Approchez mon cher, vous me surprenez en pleine collation, je finissais mon repas
M’approchant je remarquais qu’il n’y avait aucun plateau, assiette ou bien encore couverte près d’elle. Je fronçais les sourcils
Un de ces fameux sandwichs prisés par la capitale ? Elle dut remarquer que je m’interrogeais
Ne cherchez pas très cher, je me nourris exclusivement de rayons de lune
L’alcool l’aurait elle troublée ?
Je remarquais alors qu’elle tenait à la main une sorte de cristal ou plutôt un quartz bleuté et très vaporeux.
Je pensais immédiatement que le verre de Cognac m’avait probablement beaucoup plus monté à la tête que je ne le pensais. Je la vis alors porter ce quartz à la bouche et le croquer à pleines dents. Sur la surprise je fis un pas en arrière. Quel était donc ce tour de magie là ? Ayant reculé, je remarquais alors que les rayons de Iune traversaient un point précis de l’arboretum, une sorte de lentille dans la verrière et qu’alors ces rayons semblaient prendre consistance. J’en restais pantois
Voulez vous goûter ? me dit elle.
Ma foi, pourquoi pas rétorquai-je
J’essayais, fasciné que j’étais, d’attraper un rayon de lune mais je n’y parvins pas bien évidemment
Elle éclata de rire, ce petit rire léger et cristallin qui nous ravisaient tous
Laissez, je vais en attrapez un pour vous
Lequel préfériez vous ? Les bleus profond ont un goût plus fort, les clairs sont plus sucrés ce sont mes préférés
Je me fie à votre jugement, choisissez pour moi
Sa main fine et délicate, d’une blancheur presque translucide attrapa un petit rayon à peine bleuté et je ne sais par quel prodige en cassa un morceau. Je le reçu comme l’on reçoit une hostie. Cela ne pesait rien, la consistance ressemblait plus à de la barbe à papa qu’a un cristal dur et froid.
Je le portais à ma bouche et en croquais un morceau.
Sensation étrange de légèreté, un arrière goût sucré. C’était exquis. Il y avait un je ne sais quoi, que je ne parvenais pas à définir, j’engloutissais rapidement mon morceau, un peu comme un chiot affamé, ce qui la fit rire à nouveau
Prenez garde me dit elle On y prend goût facilement, au point de ne plus pouvoir s’en passer
Vous ne voudriez pas devenir un enfant de la Lune quand même ?
Cette fois ce fut mon tour de rire
Mais je remarquais qu’elle ne plaisantais pas, elle avait ce regard mélancolique sur la lune et je remarquais pour la première fois que ses yeux étaient d’un bleu profond, son nez me semblait plus mutin que d’habitude et plus étrange, je remarquais que ses oreilles si douces, semblaient plus pointu qu’à l’accoutumée.
Ne vous inquiétez pas lui répondis je d’une voix grave et profonde
Nous continuâmes ainsi pratiquement toute la nuit, jusqu’au matin triste, blafard et humide.

Délire littéraire inspiré de mes rêves, écris par ma souffrance
De par moi-même

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Panorama de La Loire à l’église St Pierre de Parnay

Vu de la Loire à l’église Saint Pierre de Parnay
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BLABLABLABLA

Que dire ? Rien !
Que faire ? Rien !

Le rien résume assez bien ma vie.
Abîme, belle abîme, engloutie moi afin que je m’oublie.
Le néant est un manteau froid et protecteur dont je me parre pour pouvoir être invisible aux yeux de tous.
Je n’accepterais qu’une seule lumière, qu’un seul soleil dans mes ténèbres, c’est toi !
Toi, mon aimé, qui sait m’éclairer quand j’ai peur, briller de mille feux afin de rechauffer mon coeur.
Avec toi, je veux bien croire à l’amour et à l’humanité.
Tu es ce qui me rattache à ce monde de fous que, ni je ne maîtrise, ni ne comprends et même ne veut comprendre.

Je ne suis qu’une ombre passant dans la folie des hommes et c’est toi qui me souffle la vie.

Mon amour, je t’aime

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Les cauchemars Dégueulasses d’Alice

 

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Monbassa

Musiqe réalisé sur moniPad avec le logiciel Amplify LaucnhPad

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En réalité.

Je regarde la vie des autres défiler devant mes yeux
Je n’en ai pas à moi
Je me lève, tu te lèves, il se lève, Nous nous levons
Nous nous préparons
Petit dèj’
Brossage des dents
Métro
Boulot
Métro
Je regarde la vie des autres
Souper, Dîner
Dodo
Et ainsi de suite
“La vie est une maladie Mortelle sexuellement transmissible” a dit un fou
Chanceux
Je regarde la vie des autres car je n’en ai pas
Et n’en aurais jamais
Que fais je alors ici ?
Rien
Je n’ai pas le temps d’avoir une vie
On a jamais le temps
On ne prends jamais le temps
Le temps de regarder un nuage
L’herbe qui pousse
Le vent dans les arbres
La pluie si apaisante, tomber
Je n’ai pas le temps
Je regarde la vie des autres
Car je n’en ai pas
Je voudrais mourir
Mais pour mourir, Il faut vivre
Et je n’ai pas de vie
Alors je ne meurs pas
Je regarde la vie des autres car je n’en ai pas

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Le Thouet en 2020

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Moon en 2020

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