Esprit Morne

Moi j’écris des petits recueils
En forme de cercueils
Pour mon âme qui erre dans cette vallée des larmes
A la recherche de son âme soeur pour avoir droit
A une parcelle de ce bonheur impossible
Qui toujours me fuit
Tout cela est-il futile ?
Je suis une inutile
Qui a toujours la tuile !
Celle de ne jamais réussi là où les autres sont déjà passées !
Misère affective et désirs déplacés !
En voilà assez !
Ma sensiblerie déplacée m’a faite idéaliser l’amour romanesque
Car tout ceci n’est qu’un leurre
Synonyme de pleurs
Et je regarderais ma glace
Et n’y verrais qu’un sourire fugace
Sur ce visage ridé par tant d’années passées
Seules à compter mes soirées
A attendre ton arrivée !
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Une réponse à Esprit Morne

  1. Artrell dit :

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